"Nous sommes très proches de la fin du processus", a déclaré le dirigeant européen lors d'une conférence de presse, se félicitant que cet accord permette d'éviter "le chaos" que serait un "no deal" le 31 octobre.
"Nous attendons maintenant le vote des deux parlements" (britannique et européen), a-t-il dit lors du sommet de Bruxelles, alors que celui de la Chambre des communs samedis est très incertain.
"Ce que je ressens aujourd'hui est un sentiment de tristesse", a-t-il poursuivi, ajoutant que si Londres voulait revenir au sein de l'UE "notre porte sera toujours ouverte".
Le Premier ministre irlandais Leo Varadkar, dont le pays est en première ligne en cas de divorce brutal, a salué "la force et l'unité de l'Union européenne".
Il s'est félicité que le nouvel accord "puisse devenir permanent", mais seulement avec l'assentiment de l'Irlande du Nord.
Les objectifs de l'Irlande et de l'UE "ont été remplis", a-t-il estimé.