Les algériens sont allés aux urnes, jeudi 17 avril, pour élire leur président. Abdelaziz Bouteflika, le chef de l’Etat sortant qui brigue un quatrième mandat, est allé voter en fauteuil roulant.
Près de 23 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes. Plus de 260.000 policiers et gendarmes ont été déployés pour assurer la sécurité de quelque 50 mille bureaux de vote. Six candidats sont en lice, dont l'ex-Premier ministre Ali Benflis, et une femme, la députée trotskiste Louisa Hanoune.
Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, grand favori du scrutin, est apparu en public pour la première fois depuis deux ans. Il a accompli son devoir de citoyen assis sur un fauteuil roulant. Les premiers résultats sont attendus vendredi.
Des incidents ont toutefois éclaté à Bouira, au sud-est d'Alger où le vote a été momentanément interrompu après des heurts entre forces de l’ordre et des manifestants.
Il y a eu 41 blessés dont 28 gendarmes. Certains candidats ont mis en garde contre la fraude, et les observateurs redoutent une réaction musclée si le résultat devait être contesté par la rue.
Le journaliste algérien Salim Réda, explique que les Algériens sont satisfaits du bilan sécuritaire et économique du président sortant.
"Quoiqu’on dise, il a quand même été l’homme qui a amené la paix, la sécurité, la stabilité à travers la réconciliation nationale."
Près de 23 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes. Plus de 260.000 policiers et gendarmes ont été déployés pour assurer la sécurité de quelque 50 mille bureaux de vote. Six candidats sont en lice, dont l'ex-Premier ministre Ali Benflis, et une femme, la députée trotskiste Louisa Hanoune.
Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, grand favori du scrutin, est apparu en public pour la première fois depuis deux ans. Il a accompli son devoir de citoyen assis sur un fauteuil roulant. Les premiers résultats sont attendus vendredi.
Des incidents ont toutefois éclaté à Bouira, au sud-est d'Alger où le vote a été momentanément interrompu après des heurts entre forces de l’ordre et des manifestants.
Il y a eu 41 blessés dont 28 gendarmes. Certains candidats ont mis en garde contre la fraude, et les observateurs redoutent une réaction musclée si le résultat devait être contesté par la rue.
Le journaliste algérien Salim Réda, explique que les Algériens sont satisfaits du bilan sécuritaire et économique du président sortant.
"Quoiqu’on dise, il a quand même été l’homme qui a amené la paix, la sécurité, la stabilité à travers la réconciliation nationale."