Selon le New York Post, l'excentrique ancienne gloire de la NBA sera à Singapour durant le tête-à-tête historique entre les deux dirigeants, prévu mardi.
"Je ne vois pas quel rôle le meilleur rebondeur de l'histoire du basket peut jouer dans cette affaire", a souligné Hogan Gidley, porte-parole de l'exécutif américain, sur Fox News.
"Il est formidable sur le parquet mais les négociations devraient être menées par ceux qui savent comment s'y prendre", a-t-il ajouté. "Le président Trump est le meilleur, donc nous nous attendons à une conversation fantastique entre lui et Kim Jong Un, sans Dennis Rodman", a-t-il conclu.
"Je l'aime bien, c'est un bon mec, mais il n'a pas été invité", a confirmé Donald Trump jeudi.
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Peu près l'annonce, mi-mars, d'une rencontre entre les deux dirigeants, le basketteur avait exprimé, via Twitter, son "grand respect" pour les deux hommes, assurant avoir prédit dès 2014 une ouverture sur ce dossier sensible.
L'ex-joueur des Chicago Bulls s'est rendu au moins cinq fois en Corée du Nord. La dernière fois, en juin 2017, il avait offert à un ministre nord-coréen, pour qu'il le remette à l'homme fort de Pyongyang, un exemplaire de "The Art of the Deal", le best-seller de Donald Trump.
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Celui qui était surnommé "The Worm" ("Le Ver") quand il excellait sur les parquets NBA, s'était en 2014 attiré une avalanche de critiques pour avoir chanté "Bon anniversaire" à son "ami pour la vie" Kim Jong Un.
Avec AFP