Les enquêteurs le soupçonnent de s'être frauduleusement bâti en France, avec des fonds publics de son pays, "un patrimoine immobilier et mobilier conséquent estimé à plusieurs centaines de millions d'euros", selon une source proche du dossier.
La justice doit désormais se prononcer sur le renvoi ou non devant un tribunal de celui qui est également deuxième vice-président de Guinée-Equatoriale.
Avec AFP