En France l’ONG Sherpa s’est félicité de l’ouverture d’une information judiciaire ce mercredi par le Procureur Général de Monaco, Jean-Pierre Dréno, dans une affaire de blanchiment de fonds mettant en cause BNP Paribas Wealth Management à Monaco.
La société aurait encaissé des dizaines de milliers de chèques provenant du Gabon, Sénégal, Burkina Faso et Madagascar. Selon Jean Merckaert, Administrateur de Sherpa, une enquête préliminaire aurait montré qu’en fait, 21 pays africains sont concernés. Les chèques, émis par des ressortissants français, auraient été détournés à leur insu vers des comptes à Monaco. Ce qui aurait permis à l’argent d’échapper au contrôle des changes ainsi qu’au fisc.
Compte tenu du préjudice subi par les États africains concernés et par les émetteurs français de ces chèques, l’ONG Sherpa dit attendre du juge d’instruction au tribunal de première instance de Monaco, Pierre Kuentz, à qui l’information a été confiée, « que tout soit entrepris afin d’identifier les responsabilités ».
Sherpa a annoncé qu’elle se constituera partie civile dans le cadre de cette procédure.
La société aurait encaissé des dizaines de milliers de chèques provenant du Gabon, Sénégal, Burkina Faso et Madagascar. Selon Jean Merckaert, Administrateur de Sherpa, une enquête préliminaire aurait montré qu’en fait, 21 pays africains sont concernés. Les chèques, émis par des ressortissants français, auraient été détournés à leur insu vers des comptes à Monaco. Ce qui aurait permis à l’argent d’échapper au contrôle des changes ainsi qu’au fisc.
Compte tenu du préjudice subi par les États africains concernés et par les émetteurs français de ces chèques, l’ONG Sherpa dit attendre du juge d’instruction au tribunal de première instance de Monaco, Pierre Kuentz, à qui l’information a été confiée, « que tout soit entrepris afin d’identifier les responsabilités ».
Sherpa a annoncé qu’elle se constituera partie civile dans le cadre de cette procédure.