La Première ministre britannique, Theresa May, avait auparavant rencontré avant l'aube le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.
Celui-ci a déclaré que l'accord trouvé avec le Royaume-Uni était un compromis et que la négociation avait été difficile pour l'UE ainsi que pour le Royaume-Uni.
Il s'est dit sûr que les 27 autres membres de l'Union européenne décideraient d'ouvrir la prochaine phase des négociations.
Les avancées exigées par l'UE ont été réalisées dans les trois dossiers jugés prioritaires: la gestion de la frontière entre l'Irlande et la province britannique d'Irlande du Nord, le règlement financier de la séparation et les droits des citoyens expatriés.
"Les citoyens de l'Union vivant au Royaume-Uni et les citoyens britanniques installés dans l'UE à 27 conserveront les mêmes droits une fois que le Royaume-Uni aura quitté l'UE", assure la Commission.
Londres a aussi "pris des engagements importants pour éviter la mise en place d'une frontière physique" entre l'Irlande et la province britannique d'Irlande du Nord.
Avec Reuters et AFP