Cynthia Ohayon, chercheuse à Dakar pour ICG, donne un peu de plus de détails sur le rapport dans une interview accordée à VOA Afrique.
Selon elle, le Burkina fait de son mieux pour respecter l’équilibre religieux au niveau des instances étatiques et administratives, mais "un certain déséquilibre –qui n’est qu’apparent- est à l’origine des frustrations; frustrations qui risquent d’être néfastes pour le Burkina et la région sahélienne qui connaissent une montée de violence terroriste qui prend prétexte ou qui prend le nom de la religion".
Ecoutez l’interview: