D’après le confrère, les autorités congolaises lui reprochent d’avoir publié deux articles dont la teneur ne leur a pas plu.
Dans une interview à VOA, M. Mbonzi n'a pas maché pas ses mots : la liberté de la presse est menacée en République du Congo !, a-t-il tranché. Il a affirmé ne pas comprendre le mobile de cette convocation dont il a demandé le report, afin de mieux préparer sa défense. Il a dit attendre une réponse du CSLC.
Pour sa part, le responsable du Conseil supérieur de la liberté de communication, Philippe Mvouo, que VOA a également joint, s’est plutôt dit surpris devant ce qu’il a qualifié d’agitation inutile de la part de l’éditeur de la Voix du Peuple. Pour lui, aucune menace n’a été proférée à l’endroit du confrère.