L’ancien chef d’état-major de l’armée et l’ex-Conseiller de Sassou affirme qu’il fera plutôt prévaloir son immunité politique et diplomatique.
"Je vais faire prévaloir… mon immunité parce que je suis représentant spécial de la présidente de la Commission de l’Union africaine. Je ne vois pas pourquoi on devrait pouvoir me convoquer dans une affaire qui relève d’une procédure qui n’est pas encore identifiée", affirme-t-il.
Il estime que, même par son statut de miliaire bénéficiant d’une mise en disponibilité, il devrait plutôt être convoqué par la gendarmerie.
M. Mokoko balaie aussi d’un revers de la main les soupçons liés à un enregistrement circulant dans la toile, le montrant en train de monter un prétendu coup d’Etat.
Quant à sa décision d'être candidat à la présidentielle du 20 mars, voici ce qu'a déclaré le général Mokoko :