La cause principale reste le non-approvisionnement en eau potable dans la ville et ses environs.
Les autorités sanitaires craignent que la maladie ne se propage davantage comme la population continue à s’approvisionner directement dans le lac Kivu.
De nouveaux cas continuent à être enregistrés, en moyenne 10 à 15 cas par jour, indiquent les autorités sanitaires.
"J’ai cinq enfants, et j’ai perdu l’un d’eux avant-hier suite à cette épidémie. Il l’a attrapé à 14 heures la journée et il en est décédé la nuit vers 21 heures. Nous demandons aux autorités des médicaments et de l’eau potable d’urgence, si non, tous nos enfants seront morts," plaide une femme que VOA Afrique a interviewée.
Reportage de Charly Kasereka à Goma.