Les experts n'ont pas pu formellement identifier à l'aide d'analyses ADN, les restes supposés appartenir à l’ancien président burkinabè Thomas Sankara, assassiné le 15 octobre 1987 lors d’un coup d’Etat de Blaise Compaoré.
Sankara et 12 autres victimes avaient été enterrés à la sauvette dans un cimetière à l’est de Ouagadougou.
Les conclusions publiées, lundi, jettent le doute sur la vraie tombe de Thomas Sankara.