"Je ne vois aucun obstacle insurmontable qui pourrait empêcher de clore ce dossier en mai" en réhabilitant la Russie, suspendue provisoirement depuis novembre 2015 en raison des accusations de dopage organisé, a dit M. Moutko, cité par l'agence de presse R-Sport.
"Ce n'est pas une question si difficile", a-t-il affirmé.
"Quand il s'agit du dopage, on ne peut donner aucune garantie", a toutefois estimé le ministre.
"Tout cela relève des cas individuels, c'est pourquoi nous disons que la responsabilité pour le dopage doit être individuelle", a-t-il ajouté.
La Russie avait été suspendue provisoirement en novembre 2015 après la publication d'un rapport accablant de l'Agence mondiale antidopage (AMA) sur les pratiques de dopage en vigueur dans le pays, facilitées par les complicités de responsables fédéraux.
Vendredi, le Norvégien Rune Andersen, chef de l'unité spéciale de l'IAAF chargé d'instruire le dossier, a présenté un rapport en demi-teinte au président de l'instance, Sebastian Coe, et au Conseil de l'IAAF. Certes, la Russie a fait de "considérables progrès" depuis sa suspension, mais il reste encore un "travail significatif à accomplir pour remplir les critères permettant une réhabilitation", a estimé M. Andersen.
Le ministre russe des Sports Vitali Moutko a déclaré vendredi ne pas voir d'"obstacle insurmontable" à une réhabilitation de l'athlétisme russe avant les JO de Rio en août 2016, malgré le maintien de la suspension des athlètes russes par l'IAAF.
"Je ne vois aucun obstacle insurmontable qui pourrait empêcher de clore ce dossier en mai" en réhabilitant la Russie, suspendue provisoirement depuis novembre 2015 en raison des accusations de dopage organisé, a dit M. Moutko, cité par l'agence de presse R-Sport.
"Ce n'est pas une question si difficile", a-t-il affirmé.
"Quand il s'agit du dopage, on ne peut donner aucune garantie", a toutefois estimé le ministre.
"Tout cela relève des cas individuels, c'est pourquoi nous disons que la responsabilité pour le dopage doit être individuelle", a-t-il ajouté.
La Russie avait été suspendue provisoirement en novembre 2015 après la publication d'un rapport accablant de l'Agence mondiale antidopage (AMA) sur les pratiques de dopage en vigueur dans le pays, facilitées par les complicités de responsables fédéraux.
Vendredi, le Norvégien Rune Andersen, chef de l'unité spéciale de l'IAAF chargé d'instruire le dossier, a présenté un rapport en demi-teinte au président de l'instance, Sebastian Coe, et au Conseil de l'IAAF. Certes, la Russie a fait de "considérables progrès" depuis sa suspension, mais il reste encore un "travail significatif à accomplir pour remplir les critères permettant une réhabilitation", a estimé M. Andersen.
Avec AFP