Course contre la montre en Guinée pour contenir la propagation de la fièvre hémorragique à virus Ebola, alors que le Sénégal a fermé ses frontières avec la Guinée.
Les responsables de la santé restent sur pied d'alerte, huit cas de fièvre à virus Ebola ayant été confirmés dans le pays, dont un à Conakry, la capitale, qui abrite au moins 2 millions de personnes.
Avant que l’on ne confirme des cas à Conakry, précisent les autorités, la plupart des gens qui avaient testés positifs pour le virus Ebola étaient signalés dans le sud du pays, une région plus rurale.
Par mesure de précaution, le Sénégal a fermé ses postes frontières avec la Guinée, dans les régions de Kolda et Kédougo.
Selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), 70 personnes sont mortes et plus d’une centaine ont été infectées en Guinée depuis le début de l'épidémie de fièvre hémorragique.
Les responsables sanitaires disent que 11 personnes sont présumées décédée de la fièvre hémorragique à virus Ebola ces derniers jours au Liberia et en Sierra Leone. Lors d’un sommet à Yamoussoukro en Côte d’Ivoire ce weekend, les ministres des Affaires étrangères de la Cédéao ont qualifié l' épidémie d'Ebola de « menace pour la sécurité régionale ».
Le virus Ebola est hautement contagieux. Parmi les symptômes de la maladie, on recense une forte fièvre, des vomissements, de la diarrhée et des saignements des yeux, des oreilles, du nez et de la bouche. Les responsables de la santé ont exhorté le personnel soignant et les travailleurs des pompes funèbres à minimiser le contact direct ou étroit avec les malades.
L'Union européenne (UE) a débloqué vendredi 500.000 euros pour aider à contenir la propagation du virus. Ces fonds permettront notamment à l’ONG Médecins sans frontières (MSF), très active sur le terrain avant même que n’éclate l’épidémie, de renforcer ses activités.
Les responsables de la santé restent sur pied d'alerte, huit cas de fièvre à virus Ebola ayant été confirmés dans le pays, dont un à Conakry, la capitale, qui abrite au moins 2 millions de personnes.
Avant que l’on ne confirme des cas à Conakry, précisent les autorités, la plupart des gens qui avaient testés positifs pour le virus Ebola étaient signalés dans le sud du pays, une région plus rurale.
Par mesure de précaution, le Sénégal a fermé ses postes frontières avec la Guinée, dans les régions de Kolda et Kédougo.
Selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), 70 personnes sont mortes et plus d’une centaine ont été infectées en Guinée depuis le début de l'épidémie de fièvre hémorragique.
Les responsables sanitaires disent que 11 personnes sont présumées décédée de la fièvre hémorragique à virus Ebola ces derniers jours au Liberia et en Sierra Leone. Lors d’un sommet à Yamoussoukro en Côte d’Ivoire ce weekend, les ministres des Affaires étrangères de la Cédéao ont qualifié l' épidémie d'Ebola de « menace pour la sécurité régionale ».
Le virus Ebola est hautement contagieux. Parmi les symptômes de la maladie, on recense une forte fièvre, des vomissements, de la diarrhée et des saignements des yeux, des oreilles, du nez et de la bouche. Les responsables de la santé ont exhorté le personnel soignant et les travailleurs des pompes funèbres à minimiser le contact direct ou étroit avec les malades.
L'Union européenne (UE) a débloqué vendredi 500.000 euros pour aider à contenir la propagation du virus. Ces fonds permettront notamment à l’ONG Médecins sans frontières (MSF), très active sur le terrain avant même que n’éclate l’épidémie, de renforcer ses activités.