Conformément aux recommandations des chefs d’Etat de la sous-région, un report de six semaines jusqu’à la mi-juillet est plus que probable.
Si la pression de la rue semble étouffée au Burundi, au-delà des frontières, la communauté internationale - Européens et Américains en tête - ne désespère pas de faire renoncer le président Nkurunziza en quête d’un troisième mandat.
Pression inutile, explique Willy Nyamitwe
Sur VOA Afrique, lec onseiller en communication à la présidence burundaise explique le sens du mot "discuter" troisième mandat
Selon lui, cela signifie "donner des éclaircissement sur le troisième mandat, oui, débattre sur le fond, non."