Selon les autorités, la menace Boko Haram a beaucoup diminué au Nigeria. Pourtant, jusque dans la capitale, on ressent les effets néfastes des jihadistes. Abuja abrite ainsi des camps de déplacés improvisés. L'envoyé spécial de VOA Afrique Nicolas Pinault s'est rendu dans le camp de New Kuchogoro. Regardez ses images.
En images : à Abuja, un camp de déplacés pour les Nigérians qui fuient Boko Haram

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Un enfant regarde sa mère faire la lessive, dans le camp de déplacés de New Kuchogoro, à Abuja, le 7 mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

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Des tentes du camp de déplacés de New Kuchogoro, le 7 mars 2016 à Abuja. (VOA/Nicolas Pinault)

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Des eaux usées dans le camp de New Kuchogoro, à Abuja, le 7 mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

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Lami John a quitté Gwoza, dans l'Etat de Borno, après une attaque de Boko Haram sur son village. Elle a été kidnappée pendant 15 jours et des militants du groupe terroriste lui ont tiré dans la jambe. 7 mars 2016, Abuja. (VOA/Nicolas Pinault)

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Des forces de sécurité patrouillent dans le camp de déplacés de New Kochogoro, à Abuja, le 7 mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

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Musa Haruna, 32 ans, vit dans le camp New Kuchogoro depuis 2014. Il a affirmé à VOA Afrique qu'il était inquiet pour la santé de son enfant car il n'a plus d'argent. 7 mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

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Abubakar Abuba, 12 ans, a quitté l'Etat de Borno à cause de Boko Haram. Il vit dans le camp de déplacés de New Kuchogoro, à Abuja. 7 mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

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Un père marche avec son fils près des ordures, dans le camp de déplacés de New Kochgoro, à Abuja, le 7 mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

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Des femmes attendent pour obtenir de l'eau dans le camp de déplacés de New Kuchogoro, à Abuja, le 7 mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)