L'opposant historique en République démocratique du Congo Étienne Tshisekedi a exigé dimanche la tenue de la présidentielle d'ici la fin de l'année et le départ du président Joseph Kabila le 20 décembre, lors d'un meeting populaire à Kinshasa.
"Le 19 septembre 2016 est la première ligne rouge à ne pas franchir. Le corps électoral doit être convoqué (à cette date, ndlr) pour l'élection présidentielle. Au cas contraire, la haute trahison sera attestée dans le chef de M. Kabila qui endosse la responsabilité du malheur des Congolais", a déclaré le président de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), de retour au pays après deux ans d'absence. "Dès cet instant, le décompte de son préavis de trois mois de locataire au palais présidentiel commence", a-t-il ajouté, concluant: le 20 décembre, "la maison doit être libre".
"Le 19 septembre 2016 est la première ligne rouge à ne pas franchir. Le corps électoral doit être convoqué (à cette date, ndlr) pour l'élection présidentielle. Au cas contraire, la haute trahison sera attestée dans le chef de M. Kabila qui endosse la responsabilité du malheur des Congolais", a déclaré le président de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), de retour au pays après deux ans d'absence. "Dès cet instant, le décompte de son préavis de trois mois de locataire au palais présidentiel commence", a-t-il ajouté, concluant: le 20 décembre, "la maison doit être libre".