A Bangkok, la capitale, les manifestants anti-gouvernementaux maintiennent la pression sur le gouvernement du Premier ministre Yingluck Shinawatra. Ce mardi, les manifestants ont occupé plusieurs ministères dans le but d’obtenir la démission du gouvernement.
Des groupes de manifestants ont sillonné Bangkok, la capitale thaïlandaise, dans le but d'occuper plusieurs bâtiments gouvernementaux. Ils ont demandé aux travailleurs de rentrer chez eux. Les manifestants ont ciblé notamment les ministères de l’Agriculture, du Tourisme, du Transport et de l'Intérieur.
Alors que la colère de la rue ne cesse de monter, le Premier ministre Yingluck a déclaré que les autorités ne vont pas recourir à la violence. Elle a cependant demandé aux protestataires de respecter la loi. Mme Yinluck a, par ailleurs, fait savoir qu’elle n’entend pas démissionner ou dissoudre le parlement.
La justice a lancé, mardi 26 novembre, un mandat d'arrêt contre le leader des manifestants, l’ancien membre du Parti démocrate Suthep Thaugsuban.
Lundi soir, le Premier ministre Yingluck avait annoncé l'élargissement des lois concernant la sécurité intérieure pour couvrir la capitale, Bangkok, et les provinces voisines.
Le Premier ministre a déclaré que la multiplication des protestations a affecté la paix et l'ordre public. Ce qui, selon elle, a amené le gouvernement à invoquer la loi sur la sécurité intérieure à Bangkok et dans les provinces voisines. Elle a appelé ses « concitoyens » à ne pas soutenir des manifestations qui violent la loi.
Ces lois sur la sécurité intérieure accordent aux autorités le pouvoir d'imposer des couvre-feux, de restreindre l'accès aux bâtiments et d’interdire l'utilisation des appareils électroniques.
Kraisak Choonhavan, un membre du Parti démocrate de l’opposition, qui a mené les protestations, affirme que les foules ont mis en lumière le mécontentement populaire concernant les politiques du gouvernement.
Des groupes de manifestants ont sillonné Bangkok, la capitale thaïlandaise, dans le but d'occuper plusieurs bâtiments gouvernementaux. Ils ont demandé aux travailleurs de rentrer chez eux. Les manifestants ont ciblé notamment les ministères de l’Agriculture, du Tourisme, du Transport et de l'Intérieur.
Alors que la colère de la rue ne cesse de monter, le Premier ministre Yingluck a déclaré que les autorités ne vont pas recourir à la violence. Elle a cependant demandé aux protestataires de respecter la loi. Mme Yinluck a, par ailleurs, fait savoir qu’elle n’entend pas démissionner ou dissoudre le parlement.
La justice a lancé, mardi 26 novembre, un mandat d'arrêt contre le leader des manifestants, l’ancien membre du Parti démocrate Suthep Thaugsuban.
Lundi soir, le Premier ministre Yingluck avait annoncé l'élargissement des lois concernant la sécurité intérieure pour couvrir la capitale, Bangkok, et les provinces voisines.
Le Premier ministre a déclaré que la multiplication des protestations a affecté la paix et l'ordre public. Ce qui, selon elle, a amené le gouvernement à invoquer la loi sur la sécurité intérieure à Bangkok et dans les provinces voisines. Elle a appelé ses « concitoyens » à ne pas soutenir des manifestations qui violent la loi.
Ces lois sur la sécurité intérieure accordent aux autorités le pouvoir d'imposer des couvre-feux, de restreindre l'accès aux bâtiments et d’interdire l'utilisation des appareils électroniques.
Kraisak Choonhavan, un membre du Parti démocrate de l’opposition, qui a mené les protestations, affirme que les foules ont mis en lumière le mécontentement populaire concernant les politiques du gouvernement.