Ce film ne recevra peut-être pas le grand prix du Fespaco, mais Zamaana (il est temps) de la cinéaste burkinabè Zalissa Zoungrana a suscité plusieurs reactions positives après sa projection au festival de Ouagadougou.
Elle dit vouloir témoigner du vécu de certaines femmes qui ont subi l’excision et apporter une contribution à la lutte déjà engagée pour abolir cette pratique, en particulier en Afrique de l’Ouest.
Avec trois projections cette semaine, le public aura eu la chance de découvrir l'histoire de cette jeune fille qui a fait l'objet de cette pratique dans son enfance et qui, devenue mère, prend la décision de se démarquer de la tradition.
Zamaana, nous dit Zalissa, va au-delà de l'aspect "douloureux" de l'excision souvent relevé dans la presse pour scruter un peu le côté "relation" et l'importance des traditions familiales et ancestrales.
Elle espère que ce court métrage de 44 minutes aidera, tant soit peu, à avancer le débat et la lutte pour l'abolition définitive de l'excision en Afrique.
Elle dit vouloir témoigner du vécu de certaines femmes qui ont subi l’excision et apporter une contribution à la lutte déjà engagée pour abolir cette pratique, en particulier en Afrique de l’Ouest.
Avec trois projections cette semaine, le public aura eu la chance de découvrir l'histoire de cette jeune fille qui a fait l'objet de cette pratique dans son enfance et qui, devenue mère, prend la décision de se démarquer de la tradition.
Zamaana, nous dit Zalissa, va au-delà de l'aspect "douloureux" de l'excision souvent relevé dans la presse pour scruter un peu le côté "relation" et l'importance des traditions familiales et ancestrales.
Elle espère que ce court métrage de 44 minutes aidera, tant soit peu, à avancer le débat et la lutte pour l'abolition définitive de l'excision en Afrique.