Une première dans l’histoire du Burundi, le statut de l’opposition politique est désormais inscrit dans une loi. Adoptée le 12 octobre par l’Assemblée des députés et cette semaine par le Senat, ce document doit maintenant être promulgué par la présidence burundaise avant son entrée en vigueur.
Ladite loi accorde, selon les officiels, un vaste espace à l’opposition politique tant parlementaire qu’extraparlementaire en vue de jouer son rôle de contrepoids à l’Exécutif.
Cependant, un ancien chef d’Etat siégeant au Senat a déclaré son opposition à la loi et a voté contre son adoption.
Sylvestre Ntibantunganya s’est expliqué le vendredi 26 octobre sur la Voix de l’Amérique.
Ladite loi accorde, selon les officiels, un vaste espace à l’opposition politique tant parlementaire qu’extraparlementaire en vue de jouer son rôle de contrepoids à l’Exécutif.
Cependant, un ancien chef d’Etat siégeant au Senat a déclaré son opposition à la loi et a voté contre son adoption.
Sylvestre Ntibantunganya s’est expliqué le vendredi 26 octobre sur la Voix de l’Amérique.