L'UOB et son principal campus, situés à quelques mètres du boulevard qui mène au centre-ville, ont été construits au début des années 70. A cette époque, jusque dans les années 80, les conditions de vie de l'étudiant étaient parmi les plus privilégiées. Aujourd'hui, les salles de classes sont vétustes et surpeuplées. Les autorités universitaires ont recours à des moyens expéditifs pour pallier cette situation.
Depuis lundi, les enseignants et chercheurs sont à nouveau entrés en grève. Ils réclament des primes impayées qui représentent une enveloppe de 600 millions de francs CFA.