Gros plan sur le nouveau code pénal burkinabè adopté en juin dernier
Le code, qui condamne de peines allant jusqu'à dix ans de prison la diffusion d'informations sur les opérations militaires, fait toujours débat dans le pays, surtout après la dernière attaque meurtrière menée par des djihadistes contre l'armée burkinabè. Les médias n’ont donc pas pu relayer immédiatement l’information. Des journalistes et des ONG sont à nouveau montés au créneau et parlent d’entrave à la liberté d’expression.