De retour de son déplacement au Nigeria, François Hollande a atterri ce vendredi à Bangui pour une visite de quelques heures.
C'est l'occasion pour le chef de l'Etat français de rencontrer les autorités politiques et religieuses centrafricaines
S’exprimant devant les troupes de la force Sangaris, M.Hollande a explique que le mission était d’eviter « toute tentation de partition » de la Centrafrique.
Les derniers renforts français sont enfin arrivés dans la capitale centrafricaine, ce qui porte à 2000 leur nombre dans le pays.
M.Hollande a ensuite eu un entretien avec la présidente de la transition, Catherine Samba-Panza.
Mgr Dieudonné Nzapalainga a expliqué à la Voix de l’Amérique que "les autres pays européens doivent soutenir la France et nous nous apprêtons à aller aux Etats-Unis pour transmettre ce message. La France a besoin d'aide pour que la violence cesse et que la Centrafrique retrouve sa place dans le concert des nations."
C'est l'occasion pour le chef de l'Etat français de rencontrer les autorités politiques et religieuses centrafricaines
S’exprimant devant les troupes de la force Sangaris, M.Hollande a explique que le mission était d’eviter « toute tentation de partition » de la Centrafrique.
Les derniers renforts français sont enfin arrivés dans la capitale centrafricaine, ce qui porte à 2000 leur nombre dans le pays.
M.Hollande a ensuite eu un entretien avec la présidente de la transition, Catherine Samba-Panza.
Cette dernière a déclaré que "certes, il reste beaucoup à faire. Mais nous savons que grâce à vos interventions, grâce à l’appui de la France, un certain nombre d’instruments ont été pris au niveau du Conseil de sécurité des Nations unies qui permettent aujourd’hui de mobiliser tout la communauté internationale en faveur de la République Centrafricaine. Et surtout en faveur de sa population, dans le domaine sécuritaire, dans le domaine humanitaire, dans le domaine budgétaire et dans le domaine institutionnel."
M.Hollande a promis que les salaires des fonctionnaires commenceraient à être payés la semaine prochaine grâce à l'aide de la France et des pays d'Afrique centrale.Mgr Dieudonné Nzapalainga a expliqué à la Voix de l’Amérique que "les autres pays européens doivent soutenir la France et nous nous apprêtons à aller aux Etats-Unis pour transmettre ce message. La France a besoin d'aide pour que la violence cesse et que la Centrafrique retrouve sa place dans le concert des nations."