Le président kenyan Uhuru Kenyatta s’est dit "profondément choqué et attristé" par ces meurtres, ajoutant que la police devrait «mobiliser toutes les ressources» pour s’assurer que les tueurs soient «rapidement appréhendés.»
Le leader de l'opposition Raila Odinga a dénoncé l'assassinat, disant qu'il faisait partie d'un ensemble de violence politique et d'insécurité au Kenya.