Le Kenya retient son souffle dans l’attente des résultats de l’élection présidentielle qui s’est tenue ce lundi 4 mars.
En dépit des longues files d’attente à l’entrée des bureaux de vote, des millions de Kenyans se sont rendus aux urnes. Le vote a été prolongé de quelques heures en raison de problèmes techniques avec les systèmes électroniques et les bureaux qui ont ouvert en retard. Quelques ratés donc, mais des observateurs électoraux se disent satisfaits du déroulement du scrutin.
Si l’on s’en tient aux résultats provisoires, c’est Uhuru Kenyatta, qui est en tête de l'élection présidentielle. A 17h TU, les journaux créditaient le vice-Premier ministre d’environ 450.000 voix, contre près de 300.000 pour le Premier ministre Raila Odinga.
Pourtant, Raila Odinga, qui a perdu le scrutin présidentiel contesté en 2007, est optimiste.
Au total, 14 millions d’électeurs étaient attendus aux bureaux de vote aujourd’hui. En plus de la présidentielle, ils devaient désigner leurs gouverneurs, leurs sénateurs et leurs députés.
Il s'agit de la première élection présidentielle depuis le scrutin contesté de 2007 qui avait débouché sur des affrontements interethniques, violences au cours desquelles plus de 1 100 personnes avaient été tuées et plus de 600 000 autres déplacées. Suspecté d’avoir aidé à orchestrer ce bain de sang, Uhuru Kenyatta a été inculpé par la Cour pénale internationale.
En dépit des longues files d’attente à l’entrée des bureaux de vote, des millions de Kenyans se sont rendus aux urnes. Le vote a été prolongé de quelques heures en raison de problèmes techniques avec les systèmes électroniques et les bureaux qui ont ouvert en retard. Quelques ratés donc, mais des observateurs électoraux se disent satisfaits du déroulement du scrutin.
Si l’on s’en tient aux résultats provisoires, c’est Uhuru Kenyatta, qui est en tête de l'élection présidentielle. A 17h TU, les journaux créditaient le vice-Premier ministre d’environ 450.000 voix, contre près de 300.000 pour le Premier ministre Raila Odinga.
Pourtant, Raila Odinga, qui a perdu le scrutin présidentiel contesté en 2007, est optimiste.
Au total, 14 millions d’électeurs étaient attendus aux bureaux de vote aujourd’hui. En plus de la présidentielle, ils devaient désigner leurs gouverneurs, leurs sénateurs et leurs députés.
Il s'agit de la première élection présidentielle depuis le scrutin contesté de 2007 qui avait débouché sur des affrontements interethniques, violences au cours desquelles plus de 1 100 personnes avaient été tuées et plus de 600 000 autres déplacées. Suspecté d’avoir aidé à orchestrer ce bain de sang, Uhuru Kenyatta a été inculpé par la Cour pénale internationale.