La Fédération internationale des ligues des Droits de l’Homme (FIDH) a dénoncé mardi un accroissement de la répression contre l’opposition à Djibouti.
Elle réclame une commission d’enquête pour éclaircir les circonstances du massacre du 21 décembre, qui a fait selon elle 27 morts.
"A quatre mois de l'élection présidentielle à Djibouti, nou nous inquiétons d'abord de la multiplication des violations des droits humains", explique Florent Gel, Responsable du Bureau Afrique de la FIDH.