La princesse Sikhanyiso Dlamini, 31 ans, sera en charge des médias, des communications et des technologies. Eduquée en Angleterre et aux Etats-Unis, titulaire d'un master en communication numérique de l'Université de Sydney, la princesse siège déjà au puissant conseil royal qui détermine les orientations politiques et économiques.
Première enfant du roi, la princesse, également musicienne de rap, siège aussi au conseil d'administration de la branche swazie du géant des télécoms MTN, dans laquelle le roi détient 10 % des parts.
Nommé en octobre, le nouveau Premier ministre Ambrose Dlamimi est PDG de la branche swazie de MTN. Il a dévoilé vendredi son gouvernement de 19 membres, dont la princesse.
Le rôle du chef de gouvernement est extrêmement limité dans l'eSwatini, où le roi, en poste depuis 19
La fille du roi Mswati III du petit royaume africain de l'eSwatini, l'ancien Swaziland, qui abrite l'une des dernières monarchies absolues de la planète, a été nommée ministre de l'Information, a annoncé à la presse le nouveau Premier ministre Ambrose Dlamini.
La princesse Sikhanyiso Dlamini, 31 ans, sera en charge des médias, des communications et des technologies. Eduquée en Angleterre et aux Etats-Unis, titulaire d'un master en communication numérique de l'Université de Sydney, la princesse siège déjà au puissant conseil royal qui détermine les orientations politiques et économiques.
Première enfant du roi, la princesse, également musicienne de rap, siège aussi au conseil d'administration de la branche swazie du géant des télécoms MTN, dans laquelle le roi détient 10 % des parts.
Nommé en octobre, le nouveau Premier ministre Ambrose Dlamimi est PDG de la branche swazie de MTN. Il a dévoilé vendredi son gouvernement de 19 membres, dont la princesse.
Le rôle du chef de gouvernement est extrêmement limité dans l'eSwatini, où le roi, en poste depuis 1986, nomme les ministres et contrôle le parlement.
Dans ce pays pauvre et enclavé d'Afrique australe, qui a organisé en septembre des élections parlementaires, les formations politiques ne sont pas autorisées à participer aux scrutins.
Avec AFP