Dans le Nord du Mali, le colonel Adama Kamissoko, gouverneur de Kidal, est arrivé jeudi matin dans la ville. Il a rendu une visite à l’Aménokal, le guide spirituel des Touaregs.
L’administration qui était absente de Kidal depuis plus d’un an commence donc à revenir pour préparer l’élection présidentielle.
En soirée, on apprenait que le retour du gouverneur n'a duré que quelques heures, à cause des tensions dans la ville de Kidal.
De leur côté, les rebelles touaregs réclament la libération de plusieurs personnes détenues par Bamako.
Selon Mahamadou Djeri Maïga, un responsable du MNLA, ils ont respecté l’application de l’accord de Ouagadougou et demandent à Bamako d’en faire autant et de libérer les détenus.
A Bamako, le Syndicat national des enseignants du supérieur (Snesup) a entamé une grève de deux semaines pour exprimer son mécontentement contre l’indifférence des autorités.
Cette cessation de travail n’est pas du goût des étudiants qui ont manifesté leur ras-le-bol mercredi au point G, mais il s’en est suivi des échauffourées avec les forces de l’ordre.
L’administration qui était absente de Kidal depuis plus d’un an commence donc à revenir pour préparer l’élection présidentielle.
En soirée, on apprenait que le retour du gouverneur n'a duré que quelques heures, à cause des tensions dans la ville de Kidal.
De leur côté, les rebelles touaregs réclament la libération de plusieurs personnes détenues par Bamako.
Selon Mahamadou Djeri Maïga, un responsable du MNLA, ils ont respecté l’application de l’accord de Ouagadougou et demandent à Bamako d’en faire autant et de libérer les détenus.
A Bamako, le Syndicat national des enseignants du supérieur (Snesup) a entamé une grève de deux semaines pour exprimer son mécontentement contre l’indifférence des autorités.
Cette cessation de travail n’est pas du goût des étudiants qui ont manifesté leur ras-le-bol mercredi au point G, mais il s’en est suivi des échauffourées avec les forces de l’ordre.