"Si le pays qui l'accueille (la CAN) n'arrive pas à l'organiser, nous trouverons un pays qui va l'organiser", a-t-il affirmé sans citer le Cameroun, mais insistant sur le fait qu'il ne reviendrait pas en arrière, soulignant que le passage de 16 à 24 permettrait d'éviter l'absence fréquente de certains grands pays.
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Interrogé ensuite sur le sujet, il a précisé: "Quant au Cameroun 2019, je ne peux pas anticiper, mais toutes les autorités du pays jusqu'au sommet de l'Etat nous ont toujours confirmé qu'ils seraient prêts".
"On a envoyé un cahier des charges (...) Au jour J, on va voir les rapports du cabinet indépendant (...) qui nous permettront de dire +le Cameroun sera prêt ou ne sera pas prêt+. On ne négociera rien", a-t-il toutefois poursuivi.
Début août, Ahmad avait jugé que le Cameroun n'était "pas prêt", suscitant une polémique sur une éventuelle réattribution de la CAN, alors que le Cameroun avait obtenu l'organisation sur un cahier des charges à 16 équipes. Le passage à 24 avait été préconisé en juillet 2017 lors d'un symposium.
Avec AFP