Une nouvelle étude indique que le taux d'avortement aux États-Unis a chuté à son plus bas niveau depuis que la procédure a été légalisée dans tout le pays il y a 40 ans.
Un groupe de recherche pro-IVG, l'Institut Guttmacher, à New York, indique qu'il y avait moins de 17 avortements pour 1.000 femmes en 2011, dernière année pour laquelle des statistiques ont été recueillies.
Ce chiffre a baissé de 13 % par rapport à 2008, mais il est légèrement supérieur à celui de 1973, année où la Cour suprême des États-Unis a légalisé l'avortement.
Rachel Jones, auteur du rapport explique cette baisse des avortements par l'utilisation généralisée de dispositifs intra-utérins (DIU) avec un taux de réussite de 99 %.
« L’erreur est beaucoup plus rare, car vous savez, avec la pilule, il faut penser à la prendre tous les jours. Vous ne pouvez pas l'oublier si vous êtes en déplacement. C'est la même chose avec le patch et l'anneau, même une fois par semaine ou une fois par mois, il faut les changer. Mais avec le DIU, une fois qu’il est mis en place, la femme n'a plus à y penser jusqu'à ce qu'elle décide d’être enceinte et de le faire retirer », souligne Mme Jones.
Elle ajoute que la crise économique depuis 2008 a contribué également à la baisse du taux de natalité aux Etats-Unis.
Le nombre d'avortements pourrait encore diminuer car les femmes adoptent de plus en plus de méthodes de contrôle des naissances et ont un meilleur accès à la contraception gratuite. Mme Jones souligne qu’en 2013, 70 nouvelles lois ont été adoptées dans 22 États américains pour limiter les interruptions volontaires de grossesse (IVG).
Un groupe de recherche pro-IVG, l'Institut Guttmacher, à New York, indique qu'il y avait moins de 17 avortements pour 1.000 femmes en 2011, dernière année pour laquelle des statistiques ont été recueillies.
Ce chiffre a baissé de 13 % par rapport à 2008, mais il est légèrement supérieur à celui de 1973, année où la Cour suprême des États-Unis a légalisé l'avortement.
Rachel Jones, auteur du rapport explique cette baisse des avortements par l'utilisation généralisée de dispositifs intra-utérins (DIU) avec un taux de réussite de 99 %.
« L’erreur est beaucoup plus rare, car vous savez, avec la pilule, il faut penser à la prendre tous les jours. Vous ne pouvez pas l'oublier si vous êtes en déplacement. C'est la même chose avec le patch et l'anneau, même une fois par semaine ou une fois par mois, il faut les changer. Mais avec le DIU, une fois qu’il est mis en place, la femme n'a plus à y penser jusqu'à ce qu'elle décide d’être enceinte et de le faire retirer », souligne Mme Jones.
Elle ajoute que la crise économique depuis 2008 a contribué également à la baisse du taux de natalité aux Etats-Unis.
Le nombre d'avortements pourrait encore diminuer car les femmes adoptent de plus en plus de méthodes de contrôle des naissances et ont un meilleur accès à la contraception gratuite. Mme Jones souligne qu’en 2013, 70 nouvelles lois ont été adoptées dans 22 États américains pour limiter les interruptions volontaires de grossesse (IVG).