Les Etats-Unis se sont déclarés « consternés » par « l’assassinat de femmes et d’enfants innocents en dehors de Bangui ». Dans un communiqué, la porte-parole du département d’Etat américain, Marie Harf, a ajouté que « ce récit horrifiant est le dernier d'une série de rapports qui illustrent la détérioration de la situation humanitaire et sécuritaire en République centrafricaine (RCA), qui pourrait conduire à une escalade de la violence et d'autres atrocités ».
Elle faisait allusion au meurtre d’une dizaine de civils lors d’incidents à Boali, à 95 kilomètres de la capitale Bangui. Des milices armées ont tué au moins 12 personnes, et fait une trentaine de blessés, dont des enfants, a fait savoir le Bureau intégré des Nations Unies pour la consolidation de la paix en République centrafricaine (BINUCA).
Les Etats-Unis travaillent avec leurs partenaires de la communauté internationale, y compris le Conseil de sécurité des Nations Unies, « pour trouver le moyen le plus rapide et le plus efficace pour stabiliser la situation » a poursuivi Mme Harf. « Nous avons récemment annoncé un don de 40 millions de dollars d'aide à la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA), pour aider à protéger les civils et assurer la sécurité dans tout le pays. Nous nous félicitons de la décision de la France de renforcer sa présence militaire en République centrafricaine » a ajouté la porte-parole du département d’Etat.
Le climat de violence accrue en Centrafrique inquiète le BINUCA, qui a interpellé les autorités de transition, en leur rappelant leur obligation de protéger les populations. Le BINUCA a également demandé au gouvernement centrafricain de traduire en justice les auteurs de tous les actes de violence.
Pour le BINUCA, il est impératif de mettre en œuvre, dans les meilleurs délais, les dispositions de la résolution 2121 du Conseil de Sécurité, qui « exige que tous les éléments de la Séléka et des autres groupes armés déposent immédiatement les armes ». Les miliciens doivent intégrer les processus de désarmement, de démobilisation, de réintégration, de réinstallation et de rapatriement, ajoute le bureau onusien.
Elle faisait allusion au meurtre d’une dizaine de civils lors d’incidents à Boali, à 95 kilomètres de la capitale Bangui. Des milices armées ont tué au moins 12 personnes, et fait une trentaine de blessés, dont des enfants, a fait savoir le Bureau intégré des Nations Unies pour la consolidation de la paix en République centrafricaine (BINUCA).
Les Etats-Unis travaillent avec leurs partenaires de la communauté internationale, y compris le Conseil de sécurité des Nations Unies, « pour trouver le moyen le plus rapide et le plus efficace pour stabiliser la situation » a poursuivi Mme Harf. « Nous avons récemment annoncé un don de 40 millions de dollars d'aide à la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA), pour aider à protéger les civils et assurer la sécurité dans tout le pays. Nous nous félicitons de la décision de la France de renforcer sa présence militaire en République centrafricaine » a ajouté la porte-parole du département d’Etat.
Le climat de violence accrue en Centrafrique inquiète le BINUCA, qui a interpellé les autorités de transition, en leur rappelant leur obligation de protéger les populations. Le BINUCA a également demandé au gouvernement centrafricain de traduire en justice les auteurs de tous les actes de violence.
Pour le BINUCA, il est impératif de mettre en œuvre, dans les meilleurs délais, les dispositions de la résolution 2121 du Conseil de Sécurité, qui « exige que tous les éléments de la Séléka et des autres groupes armés déposent immédiatement les armes ». Les miliciens doivent intégrer les processus de désarmement, de démobilisation, de réintégration, de réinstallation et de rapatriement, ajoute le bureau onusien.