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Les forces de l’ordre votent pour la présidentielle du 22 février


Les électeurs examinent une liste électorale devant un bureau de vote dans le quartier de Be à Lomé le 20 décembre 2018 lors de la procédure de vote pour les élections législatives.
Les électeurs examinent une liste électorale devant un bureau de vote dans le quartier de Be à Lomé le 20 décembre 2018 lors de la procédure de vote pour les élections législatives.

Les forces de l’ordre et de sécurité ont voté mercredi par anticipation, en prélude à la présidentielle du 22 février prochain. Un scrutin qui s’est déroulé dans le calme sur toute l’étendue du territoire national.

C’est dans 246 bureaux de vote que les forces armées et de sécurité ont eu à accomplir leur devoir civique ce mercredi. Les gendarmes, policiers et militaires se sont mobilisés afin d’apporter leur voix au candidat de leur choix.

Les forces de l’ordre et de sécurité ont voté mercredi par anticipation
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A 16 heures, les bureaux de vote ont été fermés et les urnes mises sous scellés.

Dans un communiqué, la Céni, la commission électorale nationale indépendante rappelle que le vote par anticipation est prévu par l’article 117 du code électoral. Le but est de libérer les forces armées et de sécurité, "afin d’assurer la sécurité nécessaire le jour du scrutin et la défense du pays contre d’éventuelles agressions", fait savoir l’instance organisatrice du scrutin.

Cette élection présidentielle est encadrée par la Force sécurité élection présidentielle (Fosep 2020) avec un effectif de 10.000 agents.

La campagne électorale prend fin ce jeudi. Le premier tour du scrutin se tiendra 48 heures plus tard. Plus de 3,6 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour élire le futur président du Togo pour les cinq prochaines années. Sont en lice, sept candidats dont le président sortant Faure Gnassingbé, qui sollicite un quatrième mandat.

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