Le Commandement Afrique de l’armée américaine, AFRICOM, a annoncé mardi l’arrivé à Djibouti de soldats venus d’une base aérienne en Espagne. Ils sont prêts à intervenir au Soudan du Sud pour des missions d’évacuation et de protection des intérêts américains.
C’est le premier déploiement sur le continent, selon AFRICOM, de la Force Spéciale Air-Sol du corps des Marines en appui à une mission opérationnelle.
Benjamin Benson, porte-parole d’AFRICOM, précise que cette mesure se fonde sur la « possibilité de menaces contre le personnel et les installations américains au Soudan du Sud.
Il dit que ce déploiement avancé permettra une réponse plus rapide à la crise dans la région, le cas échéant.
Le schisme politique entre le président sud-soudanais Salva Kiir et son ex vice-président Riek Machar a entraîné une flambée de violence, divisant les forces armées en certains endroits du pays et, rapportent des témoins, une intensification des tueries intercommunautaires. Les deux belligérants ont, apparemment, accepté de négocier et Salva Kiir a promis de ne pas choisir la voie de la guerre.
Salva Kiir a accusé Riek Machar d’avoir fomenté la tentative de coup d’Etat qui a déclenché la violence, la semaine dernière.
Selon les Nations Unies, les combats ont fait environ 100 000 déplacés dont plus de 40 000 se sont réfugiés sur des bases de l’ONU.
Le Conseil de sécurité devait voter ce mardi sur une résolution visant à déployer 5 500 nouveaux casques bleus au Soudan du Sud.
C’est le premier déploiement sur le continent, selon AFRICOM, de la Force Spéciale Air-Sol du corps des Marines en appui à une mission opérationnelle.
Benjamin Benson, porte-parole d’AFRICOM, précise que cette mesure se fonde sur la « possibilité de menaces contre le personnel et les installations américains au Soudan du Sud.
Il dit que ce déploiement avancé permettra une réponse plus rapide à la crise dans la région, le cas échéant.
Le schisme politique entre le président sud-soudanais Salva Kiir et son ex vice-président Riek Machar a entraîné une flambée de violence, divisant les forces armées en certains endroits du pays et, rapportent des témoins, une intensification des tueries intercommunautaires. Les deux belligérants ont, apparemment, accepté de négocier et Salva Kiir a promis de ne pas choisir la voie de la guerre.
Salva Kiir a accusé Riek Machar d’avoir fomenté la tentative de coup d’Etat qui a déclenché la violence, la semaine dernière.
Selon les Nations Unies, les combats ont fait environ 100 000 déplacés dont plus de 40 000 se sont réfugiés sur des bases de l’ONU.
Le Conseil de sécurité devait voter ce mardi sur une résolution visant à déployer 5 500 nouveaux casques bleus au Soudan du Sud.