A l'occasion de la Journée mondiale de la Radio, célébrée le 13 février, les Nations Unies (Onu) ont appelé à célébrer ce moyen de communication, et encourager aussi bien les grandes chaines que les radios communautaires dans leurs efforts pour promouvoir la liberté d’expression.
L'UNESCO, qui parraine cet évènement, en a profité pour marquer l’évolution de ce média à l'ère du numérique. Pour cet organisme de l’Onu en charge de l’éducation et de la culture, la radio reste le média qui touche le plus large public à travers le monde. Il peut sauver des vies lors de catastrophes en permettant aux journalistes d’être plus factuels.
Par ailleurs, l’ONG de défense des média, Reporters sans frontières (RSF) a profité de cette journée pour réitérer son appel à la libération de Hassan Ruvakuki, le correspondant du service en swahili de Radio France Internationale (RFI) et journaliste de la radio Bonesha FM au Burundi.
L’ONG a demandé, une nouvelle fois, que les démarches de l’avocat de la défense soient entendues et que le journaliste soit remis en liberté.
« Hassan Ruvakuki a droit à une libération conditionnelle », a fait valoir son avocat, Maître Fabien Segatwa, qui est cité par RSF. « Si cette demande, formulée dès le verdict en appel, n’était pas satisfaite, nous introduirions un pourvoi en cassation » a poursuivi l’avocat.
Rappelons que le Burundi figure à la 132e place, sur 179 pays, dans le classement mondial 2013 de la liberté de la presse publié par RSF.
L'UNESCO, qui parraine cet évènement, en a profité pour marquer l’évolution de ce média à l'ère du numérique. Pour cet organisme de l’Onu en charge de l’éducation et de la culture, la radio reste le média qui touche le plus large public à travers le monde. Il peut sauver des vies lors de catastrophes en permettant aux journalistes d’être plus factuels.
Par ailleurs, l’ONG de défense des média, Reporters sans frontières (RSF) a profité de cette journée pour réitérer son appel à la libération de Hassan Ruvakuki, le correspondant du service en swahili de Radio France Internationale (RFI) et journaliste de la radio Bonesha FM au Burundi.
L’ONG a demandé, une nouvelle fois, que les démarches de l’avocat de la défense soient entendues et que le journaliste soit remis en liberté.
« Hassan Ruvakuki a droit à une libération conditionnelle », a fait valoir son avocat, Maître Fabien Segatwa, qui est cité par RSF. « Si cette demande, formulée dès le verdict en appel, n’était pas satisfaite, nous introduirions un pourvoi en cassation » a poursuivi l’avocat.
Rappelons que le Burundi figure à la 132e place, sur 179 pays, dans le classement mondial 2013 de la liberté de la presse publié par RSF.
