Les rebelles Touareg du MNLA ont affirmé mercredi avoir pris le contrôle de Kidal, dans le nord-est du pays. Des combats hier dans la ville ont fait plusieurs tués dans les rangs de l'armée malienne.
Le bilan est encore difficile à établir. Selon l’AFP, des soldats maliens ont été tués et d’autres faits prisonniers lors des affrontements de mercredi a Kidal.
Les combats, d'abord qualifiés d'"opération de sécurisation" par l'armée malienne, ont éclaté mercredi matin, avant de tourner dans l'après-midi en défaveur de Bamako.
L’AFP cite une source militaire au sein de la Minusma, la Mission de l'ONU au Mali, qui confirme que "les groupes armés ont pris nettement le dessus sur les forces armées maliennes".
L'armée malienne a subi de nouvelles pertes lors des combats, et certains de ses hommes ont été capturés.
"Il y a des prisonniers et des morts dans les rangs de l'armée malienne", a souligné la source onusienne.
L'offensive a été lancée par les forces maliennes mais dans la soirée la ville est aux mains des groupes armés.
Selon le MNLA, Kidal est sous contrôle des groupes armés. Des militaires du Mali ont quitté Kidal et pris la piste vers Gao.
D'autres se sont réfugiés au camp 2, le camp de Serval et de la Minusma. Les combats ont duré près de cinq heures. C’est l'armée malienne qui avait lancé ce matin une offensive pour reprendre le gouvernorat tenu depuis samedi par les rebelles.
L’AFP, citant une source onusienne, rapporte que des soldats maliens ont été tués et d'autres faits prisonniers lors de ces affrontements.
"Les bruits d'armes cessent actuellement. (...) Il y a des prisonniers et des morts dans les rangs de l'armée malienne", a déclaré à l'AFP une source militaire à la Mission de l'ONU au Mali (Minusma), contactée dans la ville.
Ces combats font suite à des affrontements ayant fait le 17 mai à Kidal plus de 30 morts, selon les autorités maliennes, qui avaient annoncé dans la foulée l'envoi de 1.500 soldats sur place. Interviewé par la VOA, un membre du Haut Conseil pour l’Unité de l’Azawad a déclaré que l’armée malienne « a été mise en déroute » et la faute incombe au gouvernment malien qui a, selon lui, mal géré la situation.
Le bilan est encore difficile à établir. Selon l’AFP, des soldats maliens ont été tués et d’autres faits prisonniers lors des affrontements de mercredi a Kidal.
Les combats, d'abord qualifiés d'"opération de sécurisation" par l'armée malienne, ont éclaté mercredi matin, avant de tourner dans l'après-midi en défaveur de Bamako.
L’AFP cite une source militaire au sein de la Minusma, la Mission de l'ONU au Mali, qui confirme que "les groupes armés ont pris nettement le dessus sur les forces armées maliennes".
L'armée malienne a subi de nouvelles pertes lors des combats, et certains de ses hommes ont été capturés.
"Il y a des prisonniers et des morts dans les rangs de l'armée malienne", a souligné la source onusienne.
L'offensive a été lancée par les forces maliennes mais dans la soirée la ville est aux mains des groupes armés.
Selon le MNLA, Kidal est sous contrôle des groupes armés. Des militaires du Mali ont quitté Kidal et pris la piste vers Gao.
D'autres se sont réfugiés au camp 2, le camp de Serval et de la Minusma. Les combats ont duré près de cinq heures. C’est l'armée malienne qui avait lancé ce matin une offensive pour reprendre le gouvernorat tenu depuis samedi par les rebelles.
L’AFP, citant une source onusienne, rapporte que des soldats maliens ont été tués et d'autres faits prisonniers lors de ces affrontements.
"Les bruits d'armes cessent actuellement. (...) Il y a des prisonniers et des morts dans les rangs de l'armée malienne", a déclaré à l'AFP une source militaire à la Mission de l'ONU au Mali (Minusma), contactée dans la ville.
Ces combats font suite à des affrontements ayant fait le 17 mai à Kidal plus de 30 morts, selon les autorités maliennes, qui avaient annoncé dans la foulée l'envoi de 1.500 soldats sur place. Interviewé par la VOA, un membre du Haut Conseil pour l’Unité de l’Azawad a déclaré que l’armée malienne « a été mise en déroute » et la faute incombe au gouvernment malien qui a, selon lui, mal géré la situation.