Après signature de l’accord de Ouagadougou, l’émissaire Tiébilé Dramé est rentré à Bamako et a donné une conférence de presse comme pour faire une explication du texte qu’il a signé.
Cet accord n’est pas du goût de tout le monde et les défenseurs des droits de l’Homme ne cachent pas leur colère face à l’impunité offerte, disent-ils, par l’accord de Ouaga.
Cet accord n’est pas du goût de tout le monde et les défenseurs des droits de l’Homme ne cachent pas leur colère face à l’impunité offerte, disent-ils, par l’accord de Ouaga.
Par ailleurs, le président malien par intérim Dioncounda Traoré a lancé jeudi une série de consultations prévoyant des audiences avec 35 chefs de partis politiques, selon l'AFP qui cite une source officielle à Bamako.
Toujours, selon l'agence, ces rencontres sont organisées "pour dégager les voies et moyens pour une application à la lettre des accords de Ouagadougou et pour l'organisation d'élections transparentes et apaisées".