Face à l'étonnement du journaliste, elle a concédé n'être peut-être que "l'une" des principales victimes de harcèlement. "Vous devriez voir ce que les gens disent de moi."
Cette expérience explique son engagement dans la campagne "BeBest" contre le harcèlement en ligne, a-t-elle ajouté.
La discrète épouse de Donald Trump, qui se tient plutôt à l'écart de la politique, a tenu ces propos en marge d'une tournée africaine, qui l'a menée au Ghana, au Malawi, au Kenya et en Egypte la semaine dernière.
A cette occasion, l'ancienne mannequin de 48 ans a été vivement critiquée, sur les réseaux sociaux et dans la presse, pour avoir arboré un casque colonial. "J'aimerais que les gens se focalisent sur ce que je fais, pas sur ce que je porte", avait-elle commenté.
Elle avait également suscité des froncements de sourcils en juin lors d'une visite dans un refuge pour enfants clandestins, où elle était arivée avec une veste sur le dos de laquelle étaient imprimés ces mots : "Je m'en fiche complètement, et vous?"
Dans l'extrait diffusé jeudi sur ABC, elle confie "apprécier" malgré tout sa vie de Première dame. "J'aime vraiment vivre à Washington et à la Maison Blanche", assure-t-elle, en se disant prête à soutenir son époux s'il souhaite briguer un autre mandat.
Avec AFP