Le nombre d’étudiants étrangers dans les universités américaines a augmenté de 7% pendant l’année académique 2012-2013, ce qui représente un record de presque 820.000.
On s’attend à la poursuite de cette tendance, selon des chiffres publiés dans le rapport “Open Doors ” de l’Institut pour l’Education internationale.
Les Etats-Unis restent donc le pays favori pour les études supérieures, comme l’a confirmé, ici à Washington, la ressortissante indienne Neena Dominic, qui étudie la communication. « C’est connu que les Etats-Unis sont puissants quand on parle éducation et compétence. Et je voulais découvrir cela », a-t-elle expliqué.
Neena fait partie d’un nombre croissant d’étudiants qui viennent aux Etats-Unis, la majorité de Chine – avec 235.000 – suivie par l’Inde, la Corée du sud et l’Arabie Saoudite.
L’étudiant chinois Zheng Zu affirme que le système éducatif américain a dépassé ses attentes. Outre les nouveaux amis qu’il s’est fait ici, il affirme que son expérience lui a permis de mieux comprendre les Etats-Unis.
Bien que le nombre d’Américains étudiant à l’étranger ait augmenté de 3%, pour atteindre presque 300.000 l’année dernière, moins de 10% des étudiants américains sont allés étudier à l’étranger – et souvent pour un semestre seulement.
Ce que déplore Neena Dominic. « Je suis venue ici, et je me suis rendue compte d’une chose: malgré tout ce que nous savons sur l’Amérique, les Américains ne savent pas grand’ chose sur nos pays », déplore-t-elle.
Autre critique que l’on entend: les lois sur l’immigration limitent le nombre d’étudiants qui peuvent vivre et travailler aux Etats-Unis après leurs études.
Les parlementaires américains examinent, à ce sujet, plusieurs options pour garder ici les plus brillants d’entre eux.
La contribution des étudiants internationaux à l’économie américaine est estimée à 24 milliards de dollars. Et ils se rendent surtout en Californie, dans l’Etat de New York et au Texas.
On s’attend à la poursuite de cette tendance, selon des chiffres publiés dans le rapport “Open Doors ” de l’Institut pour l’Education internationale.
Les Etats-Unis restent donc le pays favori pour les études supérieures, comme l’a confirmé, ici à Washington, la ressortissante indienne Neena Dominic, qui étudie la communication. « C’est connu que les Etats-Unis sont puissants quand on parle éducation et compétence. Et je voulais découvrir cela », a-t-elle expliqué.
Neena fait partie d’un nombre croissant d’étudiants qui viennent aux Etats-Unis, la majorité de Chine – avec 235.000 – suivie par l’Inde, la Corée du sud et l’Arabie Saoudite.
L’étudiant chinois Zheng Zu affirme que le système éducatif américain a dépassé ses attentes. Outre les nouveaux amis qu’il s’est fait ici, il affirme que son expérience lui a permis de mieux comprendre les Etats-Unis.
Bien que le nombre d’Américains étudiant à l’étranger ait augmenté de 3%, pour atteindre presque 300.000 l’année dernière, moins de 10% des étudiants américains sont allés étudier à l’étranger – et souvent pour un semestre seulement.
Ce que déplore Neena Dominic. « Je suis venue ici, et je me suis rendue compte d’une chose: malgré tout ce que nous savons sur l’Amérique, les Américains ne savent pas grand’ chose sur nos pays », déplore-t-elle.
Autre critique que l’on entend: les lois sur l’immigration limitent le nombre d’étudiants qui peuvent vivre et travailler aux Etats-Unis après leurs études.
Les parlementaires américains examinent, à ce sujet, plusieurs options pour garder ici les plus brillants d’entre eux.
La contribution des étudiants internationaux à l’économie américaine est estimée à 24 milliards de dollars. Et ils se rendent surtout en Californie, dans l’Etat de New York et au Texas.