De nouvelles révélations été faites ce mardi 12 novembre dans l’affaire des incendies des marchés de Kara et de Lomé.
Plusieurs membres du Collectif Sauvons le Togo sont inquiétés par la justice pour leur implication mais le CST vient de contre-attaquer en dévoilant un rapport contenant ce que l'opposition désigne comme les vrais commanditaires de ces incendies.
Dans un entretien avec le service francophone de la VOA, Claude Ameganvi, qui est membre du collectif sauvons le Togo, s'est plaint de l'absence d'une justice indépendante au Togo, faisant remarquer que, dans cette affaire, la justice travaille sur la base d'éléments fournis par le régime lui-même.
S'érigeant contre ce qu'il appelle une "machination", Ameganvi cite des proches du pouvoir de Faure Gnassingbé, y compris au moins un haut-gradé de l'armée-- qui seraient impliqués. Le CST compte transmettre à la justice togolaise les noms de ces citoyens ainsi que les données relatives à leur participation présumée aux deux incendies.
La vie de plusieurs témoins est menacée, dit l'homme politique, donc le CST se gardera de les identifier pour le moment.
Plusieurs membres du Collectif Sauvons le Togo sont inquiétés par la justice pour leur implication mais le CST vient de contre-attaquer en dévoilant un rapport contenant ce que l'opposition désigne comme les vrais commanditaires de ces incendies.
Dans un entretien avec le service francophone de la VOA, Claude Ameganvi, qui est membre du collectif sauvons le Togo, s'est plaint de l'absence d'une justice indépendante au Togo, faisant remarquer que, dans cette affaire, la justice travaille sur la base d'éléments fournis par le régime lui-même.
S'érigeant contre ce qu'il appelle une "machination", Ameganvi cite des proches du pouvoir de Faure Gnassingbé, y compris au moins un haut-gradé de l'armée-- qui seraient impliqués. Le CST compte transmettre à la justice togolaise les noms de ces citoyens ainsi que les données relatives à leur participation présumée aux deux incendies.
La vie de plusieurs témoins est menacée, dit l'homme politique, donc le CST se gardera de les identifier pour le moment.