Le président Barack Obama a continué à recevoir mardi à la Maison Blanche des membres du Congrès, dont les leaders de la majorité républicaine et de la minorité démocrate à la Chambre des représentants.
M. Obama se dit confiant dans l’adoption éventuelle d’une résolution autorisant une action militaire en Syrie.
Le président a tenu ces propos avant sa rencontre avec les dirigeants du Congrès, pour discuter de l’utilisation présumée d’armes chimiques contre des civils par le gouvernement syrien.
M. Obama a expliqué qu’il demandait au Congrès d’approuver “une réponse proportionnelle et limitée” qui enverrait “un message clair” au président syrien Bachar Al-Assad, et à tout autre pays tenté de « tester les normes internationales ». Il a ajouté que les Etats-Unis avaient aussi une plus grande stratégie, qui implique le renforcement des capacités de l’opposition syrienne.
Les officiels de la Maison Blanche ont continué de donner des briefings à huis-clos aux parlementaires américains, pour mieux étayer les arguments du président. De leur côté, le secrétaire d’Etat John Kerry, son collègue de la défense Chuck Hagel, et le géneral Martin Dempsey, chef d’Etat-major interarmes, ont été entendus ce mardi par la Commission sénatoriale des affaires étrangères.
Le président de la Chambre, le républicain John Boehner, n’a pas attendu la fin de sa réunion avec M. Obama pour annoncer son soutien à la requête du président, expliquant que le recours à l’arme chimique est un « acte barbare
De son côté, la députée Nancy Pelosy, leader de la minorité démocrate à la Chambre, a exprimé son soutien à la décision du président disant que, concernant la sécurité nationale des Etats-Unis, il faut envoyer un message très clair à ceux qui ont des armes de destruction massive de toutes sortes qu’ils ne devraient surtout pas penser à les utiliser.
M. Obama se dit confiant dans l’adoption éventuelle d’une résolution autorisant une action militaire en Syrie.
Le président a tenu ces propos avant sa rencontre avec les dirigeants du Congrès, pour discuter de l’utilisation présumée d’armes chimiques contre des civils par le gouvernement syrien.
M. Obama a expliqué qu’il demandait au Congrès d’approuver “une réponse proportionnelle et limitée” qui enverrait “un message clair” au président syrien Bachar Al-Assad, et à tout autre pays tenté de « tester les normes internationales ». Il a ajouté que les Etats-Unis avaient aussi une plus grande stratégie, qui implique le renforcement des capacités de l’opposition syrienne.
Les officiels de la Maison Blanche ont continué de donner des briefings à huis-clos aux parlementaires américains, pour mieux étayer les arguments du président. De leur côté, le secrétaire d’Etat John Kerry, son collègue de la défense Chuck Hagel, et le géneral Martin Dempsey, chef d’Etat-major interarmes, ont été entendus ce mardi par la Commission sénatoriale des affaires étrangères.
Le président de la Chambre, le républicain John Boehner, n’a pas attendu la fin de sa réunion avec M. Obama pour annoncer son soutien à la requête du président, expliquant que le recours à l’arme chimique est un « acte barbare
De son côté, la députée Nancy Pelosy, leader de la minorité démocrate à la Chambre, a exprimé son soutien à la décision du président disant que, concernant la sécurité nationale des Etats-Unis, il faut envoyer un message très clair à ceux qui ont des armes de destruction massive de toutes sortes qu’ils ne devraient surtout pas penser à les utiliser.