New York accueille cette semaine la 68ème session de l'Assemblée générale des Nations Unies, qui se poursuivra jusqu’au 4 octobre. Le président Barack Obama organise lundi soir une réception pour les chefs d’Etat et de gouvernement, mais entre-temps, l’administration a dévoilé ses attentes pour cette session.
Dans son allocution attendue ce mardi, le président Barack Obama devrait évoquer la guerre civile en Syrie et le recours aux armes chimiques, le programme nucléaire de l'Iran, et l’évolution politique au sein du monde arabe.
Selon un responsable du département d'Etat, Dean Pittman, les Etats-Unis vont plaider pour l’élimination rapide des armes chimiques de la Syrie pour qu’on puisse commencer à mettre fin à la guerre civile. Il faut rassembler les parties au conflit, car seul un règlement politique peut mettre fin à la crise, a-t-il estimé.
M. Pittman a évoqué la déception des Etats-Unis, dont les projets de résolutions ont été bloqués au Conseil de sécurité de l'ONU par les menaces de vétos de la Russie et de la Chine. Néanmoins, a-t-il dit, Washington a pu atteindre des objectifs importants grâce à diverses agences onusiennes.
« Juste quelques exemples: grâce à leur programme d'aide, à nos contributions et grâce aux contributions des autres membres de l'ONU - le Programme alimentaire mondial (PAM) a été en mesure de fournir une aide à 4 millions de personnes à risque, dont 1,3 million enfants. Si vous regardez ce que l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a été en mesure de le faire, et bien elle a aidé 1,5 million de migrants, de déplacés internes et de réfugiés » a expliqué M. Pittman.
Toujours selon le responsable du département d’Etat, le président Obama compte, dans son discours, se focaliser sur le Proche Orient, la Syrie et l’Afrique du Nord. Mais il souhaite également insister sur l’importance du soutien à apporter au développement de la société civile, notamment dans les pays où elle a été réprimée.
M. Obama compte profiter de son séjour à New-York pour participer à des têtes à têtes avec les présidents nigérian, libanais et palestinien. Mais il ne compte pas rencontrer le nouveau président iranien, Hassan Rouhani. Certes, a admis une porte-parole du département d’Etat, Marie Harf, Washington se félicite du ton conciliateur adopté par Téhéran. Mais les Etats-Unis attendent des mesures concrètes quant au programme nucléaire controversé de l’Iran.
« Nous avons dit dès le début que ce que nous recherchons, ce ne sont pas des mots, ce sont des actions. C’est ce qui compte vraiment », a souligné Mme Harf.
Dans son allocution attendue ce mardi, le président Barack Obama devrait évoquer la guerre civile en Syrie et le recours aux armes chimiques, le programme nucléaire de l'Iran, et l’évolution politique au sein du monde arabe.
Selon un responsable du département d'Etat, Dean Pittman, les Etats-Unis vont plaider pour l’élimination rapide des armes chimiques de la Syrie pour qu’on puisse commencer à mettre fin à la guerre civile. Il faut rassembler les parties au conflit, car seul un règlement politique peut mettre fin à la crise, a-t-il estimé.
M. Pittman a évoqué la déception des Etats-Unis, dont les projets de résolutions ont été bloqués au Conseil de sécurité de l'ONU par les menaces de vétos de la Russie et de la Chine. Néanmoins, a-t-il dit, Washington a pu atteindre des objectifs importants grâce à diverses agences onusiennes.
« Juste quelques exemples: grâce à leur programme d'aide, à nos contributions et grâce aux contributions des autres membres de l'ONU - le Programme alimentaire mondial (PAM) a été en mesure de fournir une aide à 4 millions de personnes à risque, dont 1,3 million enfants. Si vous regardez ce que l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a été en mesure de le faire, et bien elle a aidé 1,5 million de migrants, de déplacés internes et de réfugiés » a expliqué M. Pittman.
Toujours selon le responsable du département d’Etat, le président Obama compte, dans son discours, se focaliser sur le Proche Orient, la Syrie et l’Afrique du Nord. Mais il souhaite également insister sur l’importance du soutien à apporter au développement de la société civile, notamment dans les pays où elle a été réprimée.
M. Obama compte profiter de son séjour à New-York pour participer à des têtes à têtes avec les présidents nigérian, libanais et palestinien. Mais il ne compte pas rencontrer le nouveau président iranien, Hassan Rouhani. Certes, a admis une porte-parole du département d’Etat, Marie Harf, Washington se félicite du ton conciliateur adopté par Téhéran. Mais les Etats-Unis attendent des mesures concrètes quant au programme nucléaire controversé de l’Iran.
« Nous avons dit dès le début que ce que nous recherchons, ce ne sont pas des mots, ce sont des actions. C’est ce qui compte vraiment », a souligné Mme Harf.