La tension règne toujours dans l’ouest du pays où les populations vivent toujours dans l’insécurité totale.
Pour se protéger certains villageois n’ont pas hésité à former des groupes d'auto-défense près de Bossangoa. Selon l’AFP, ils seraient armés de fusils artisanaux, de machettes, ou de simples gourdins pour protéger leurs villages.
Pour Gervais Lakosso, coordonnateur du groupe de travail de la société civile centrafricaine, il s’agit de « populations organisées pour se révolter contre l’exaspération ».
« C’est des populations qui ont été dépassées par les évènements, la violence, la destruction des maisons, les tueries gratuites qui, à un moment donné ont dit : ‘soit on accepte de mourir comme ça de façon gratuite (…) ou bien on préfère nous organiser et mourir debout’. »
Par ailleurs, le CICR affirme qu’à Buca, une localité située à quelque 60 km à l’est de Bossangoa, la tension règne toujours, même s’il n’y a plus de combat. Et selon l’ONG, il y a un manque criard de soins sanitaires.
Human Rights, a publié mercredi, 18 septembre 2013, un rapport sur la situation en Centrafrique. L’ONG déplore l’impunité totale dont bénéficient les membres de la Seleka auteurs de nombreuses exactions.
Philippe Bolopion pense que l’ONU devrait faire mieux en Centrafrique.
Pour se protéger certains villageois n’ont pas hésité à former des groupes d'auto-défense près de Bossangoa. Selon l’AFP, ils seraient armés de fusils artisanaux, de machettes, ou de simples gourdins pour protéger leurs villages.
Pour Gervais Lakosso, coordonnateur du groupe de travail de la société civile centrafricaine, il s’agit de « populations organisées pour se révolter contre l’exaspération ».
« C’est des populations qui ont été dépassées par les évènements, la violence, la destruction des maisons, les tueries gratuites qui, à un moment donné ont dit : ‘soit on accepte de mourir comme ça de façon gratuite (…) ou bien on préfère nous organiser et mourir debout’. »
Par ailleurs, le CICR affirme qu’à Buca, une localité située à quelque 60 km à l’est de Bossangoa, la tension règne toujours, même s’il n’y a plus de combat. Et selon l’ONG, il y a un manque criard de soins sanitaires.
Human Rights, a publié mercredi, 18 septembre 2013, un rapport sur la situation en Centrafrique. L’ONG déplore l’impunité totale dont bénéficient les membres de la Seleka auteurs de nombreuses exactions.
Philippe Bolopion pense que l’ONU devrait faire mieux en Centrafrique.