"La France exprime toute sa solidarité aux personnes enlevées et à leurs familles ainsi qu'aux autorités du Nigeria", ajoute-t-elle dans un communiqué.
L'ONG a réclamé jeudi la libération de six de ses employés, dont une femme, enlevés il y a une semaine au Nigeria par un groupe djihadiste qui a diffusé une vidéo des otages.
Dans cette vidéo publiée par le groupe nigérian de l'Etat islamique en Afrique de l'Ouest (Iswap), faction rivale de Boko Haram affiliée à l'organisation Etat islamique (EI), une femme vêtue d'un hijab bleu clair affirme en anglais qu'elle est membre de l'ONG française et qu'elle a été enlevée avec ses cinq collègues, assis derrière elle sur la vidéo.
Au Nigeria, "la présidence a reçu l'assurance que des contacts étaient en train d'être noués et qu'on parlait aux ravisseurs", selon un communiqué publié jeudi soir par la présidence du Nigeria.