Après la déception de l’année dernière et la défaite en finale de la CAF, quelles sont vos ambitions cette saison avec le TP Mazembe ?
Patrice Carteron : "C'est une déception relative car lors de mon arrivée, le club était en fin de cycle. Malgré tout, nous avons été jusqu'en finale et obtenu titre de champion. Aujourd'hui, c'est un nouveau cycle avec de jeunes joueurs pour redynamiser le club. Il faut beaucoup d'humilité puisque le niveau africain est de plus en plus relevé. Chaque match est à prendre au sérieux."
Avez-vous douté de la poursuite de votre aventure avec Lubumbashi ?
Patrice Carteron : "Je suis reste pour le président. J'ai la chance de pouvoir travailler dans d'excellentes conditions comme dans un grand club européen. C'est quelqu'un qui ne méritait pas que je le laisse alors que le club était en reconstruction. Il était évident dans mon esprit que je restais au club."
Que pensez-vous du départ de Trésor Mputu ?
Patrice Carteron : "Trésor ayant passé dix ans à Mazembe, c’Ets une icône. J’aurais préfère qu’il aille confronter son talent aux footballeurs européens. Ceci dit, la proposition de Kabuscorp a été tellement conséquente qu’il était délicat de l’en empêcher. C’est une bonne chose pour lui, il avait fait le tour de la question à Lubumbashi."
Prochaine échéance continentale, la rencontre de Ligue des Champions contre les Astres de Douala. A quoi vous attendez-vous ?
Patrice Carteron : "Je m’attends à un gros défi physique. C’est une très bonne équipe. Par bonheur, nous évoluerons sur une bonne pelouse synthétique. J’attends beaucoup de réponses car, depuis des années, le parcours de l’équipe à l’extérieur est lamentable. C’est pour cela qu’au fil du temps, le TP Mazembe est éliminé de plus en plus prématurément des compétitions. J’attends de voir si la philosophie que je mets en place, va nous permettre d’être plus consistants à l’extérieur."
Où en êtes-vous de votre aventure africaine après votre passage au Mali et maintenant en RDC. Vous reverra-t-on à la tête d'une sélection africaine ?
Patrice Carteron : "J’aimerais y revenir dans quelques temps. J’avais envie de retrouver la vie de club mais j’ai vécu une expérience extraordinaire avec le Mali. C’est vrai qu’à moyen terme, l’idée est là car ça vaut le coup de vivre des moments magiques comme la CAN."
Pensez-vous rentrer en France pour entraîner un club de Ligue 1 ?
Patrice Carteron : "Honnêtement, très peu. Peu de clubs en France auraient les moyens de me permettre de gagner ma vie comme je le fais ici. Pour le statut, je pense que je n’intéresserais que des clubs de deuxième moitié de tableau et je l’ai déjà fait. Donc rien de très excitant pour moi."
Patrice Carteron : "C'est une déception relative car lors de mon arrivée, le club était en fin de cycle. Malgré tout, nous avons été jusqu'en finale et obtenu titre de champion. Aujourd'hui, c'est un nouveau cycle avec de jeunes joueurs pour redynamiser le club. Il faut beaucoup d'humilité puisque le niveau africain est de plus en plus relevé. Chaque match est à prendre au sérieux."
Avez-vous douté de la poursuite de votre aventure avec Lubumbashi ?
Patrice Carteron : "Je suis reste pour le président. J'ai la chance de pouvoir travailler dans d'excellentes conditions comme dans un grand club européen. C'est quelqu'un qui ne méritait pas que je le laisse alors que le club était en reconstruction. Il était évident dans mon esprit que je restais au club."
Que pensez-vous du départ de Trésor Mputu ?
Patrice Carteron : "Trésor ayant passé dix ans à Mazembe, c’Ets une icône. J’aurais préfère qu’il aille confronter son talent aux footballeurs européens. Ceci dit, la proposition de Kabuscorp a été tellement conséquente qu’il était délicat de l’en empêcher. C’est une bonne chose pour lui, il avait fait le tour de la question à Lubumbashi."
Prochaine échéance continentale, la rencontre de Ligue des Champions contre les Astres de Douala. A quoi vous attendez-vous ?
Patrice Carteron : "Je m’attends à un gros défi physique. C’est une très bonne équipe. Par bonheur, nous évoluerons sur une bonne pelouse synthétique. J’attends beaucoup de réponses car, depuis des années, le parcours de l’équipe à l’extérieur est lamentable. C’est pour cela qu’au fil du temps, le TP Mazembe est éliminé de plus en plus prématurément des compétitions. J’attends de voir si la philosophie que je mets en place, va nous permettre d’être plus consistants à l’extérieur."
Où en êtes-vous de votre aventure africaine après votre passage au Mali et maintenant en RDC. Vous reverra-t-on à la tête d'une sélection africaine ?
Patrice Carteron : "J’aimerais y revenir dans quelques temps. J’avais envie de retrouver la vie de club mais j’ai vécu une expérience extraordinaire avec le Mali. C’est vrai qu’à moyen terme, l’idée est là car ça vaut le coup de vivre des moments magiques comme la CAN."
Pensez-vous rentrer en France pour entraîner un club de Ligue 1 ?
Patrice Carteron : "Honnêtement, très peu. Peu de clubs en France auraient les moyens de me permettre de gagner ma vie comme je le fais ici. Pour le statut, je pense que je n’intéresserais que des clubs de deuxième moitié de tableau et je l’ai déjà fait. Donc rien de très excitant pour moi."