"Nous allons ouvrir totalement l'accès à internet à tous les usagers d'internet dans les différentes compétitions, zones d'habitations, et d'autres zones", a assuré Zhang Jiandong, vice-président du comité organisateur des jeux d'hiver et maire adjoint de Pékin, lors d'une conférence de presse.
Le pays communiste restreint l'accès aux sites internet étrangers, dont Google, Facebook et Twitter grâce à une censure très perfectionnée, surnommée le "Great Firewall", jeu de mot en anglais qui mélange les termes "Grande Muraille" ("Great Wall") et pare-feu ("firewall").
Depuis l'arrivée au pouvoir du président Xi Jinping, la Chine a encore restreint l'accès aux médias télévisuels, à la presse écrite et sur internet.
Les contenus jugés violents, politiquement ou moralement "malsains" sont régulièrement bloqués.
Un accès libre à internet "était garanti dans l'offre" de Pékin, a déclaré le vice-président du Comité olympique international (CIO), Juan Antonio Samaranch, ajoutant: "D'expérience, ils font ce qu'ils disent".
Pékin deviendra en 2022 la seule ville à avoir accueilli les JO d'été et d'hiver.
Avec AFP