Cette plainte alimente la polémique entre le parti, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et les autres candidats à la présidentielle du 10 avril dernier.
Les responsables du parti exigent réparation. Pour eux, les procès-verbaux disparus étaient favorables à Joseph Jibrangardad Najii, leur candidat.
Le Capsur dénonce une fraude orchestrée pour faire échouer son candidat et accusent des agents de la CENI de refuser de prendre en compte certains des procès-verbaux retrouvés.
Mais les agents de la Commission électorale nationale indépendante disent être prêts à rebindir avec leurs arguments.
Cinq jours après l'élection présidentielle le dépouillement se poursuit à travers le pays sous un climat de suspicions et des accusations de fraudes.