Le président Obama a ouvert sa conférence de presse en réaffirmant ses objectifs prioritaires : « Notre économie est en train de se remettre, en ce moment, d’une crise très grave. Ainsi donc, nos principales priorités doivent être l’emploi et la croissance.»
Concernant le fameux “gouffre fiscal” qui attend la nation, si aucun accord n’intervient avec l’opposition républicaine avant la fin de l’année, il s’est dit prêt au compromis, pour éviter de sombres coupes budgétaires automatiques de l’ordre de 600 milliards de dollars à partir du 1er janvier. Le seul moyen de l’éviter, c’est de relever le défi ensemble, parlant de la Maison Blanche et de l’opposition républicaine au Congrès. Et M. Obama a demandé aux parlementaires américains d’approuver les projets de loi requis avant Noël.
Parlant de la question de l’immigration, qui selon les sondages, auront coûté très cher aux Républicains pendant l’élection du 6 novembre auprès des Hispaniques, le président a déclaré : « Mon attente est qu’un projet de loi soit introduit, et nous entamerons le processus au Congrès presqu’immédiatement après mon investiture. »
La controverse sur l’attaque du 11 septembre dernier contre le consulat américain à Benghazi a été abordée, ainsi que la Syrie. Le président a qualifié de scandaleuses et révoltantes les critiques visant directement l’ambassadeure des Etats-Unis à l’ONU, Susan Rice, à cause de ses déclarations suite à l’attaque contre le « consulat » americain à Benghazi, en Libye. « Si les sénateurs McCain et Graham veulent s’en prendre à quelqu’un, qu’ils s’en prennent à moi, » a déclaré un Barack Obama en colère.
John McCain et Lindsey Graham ont promis de tout faire pour bloquer la nomination éventuelle de Mme Rice au Département d’Etat où Hillary Clinton a annoncé son intention de démissionner.
Concernant le fameux “gouffre fiscal” qui attend la nation, si aucun accord n’intervient avec l’opposition républicaine avant la fin de l’année, il s’est dit prêt au compromis, pour éviter de sombres coupes budgétaires automatiques de l’ordre de 600 milliards de dollars à partir du 1er janvier. Le seul moyen de l’éviter, c’est de relever le défi ensemble, parlant de la Maison Blanche et de l’opposition républicaine au Congrès. Et M. Obama a demandé aux parlementaires américains d’approuver les projets de loi requis avant Noël.
Parlant de la question de l’immigration, qui selon les sondages, auront coûté très cher aux Républicains pendant l’élection du 6 novembre auprès des Hispaniques, le président a déclaré : « Mon attente est qu’un projet de loi soit introduit, et nous entamerons le processus au Congrès presqu’immédiatement après mon investiture. »
La controverse sur l’attaque du 11 septembre dernier contre le consulat américain à Benghazi a été abordée, ainsi que la Syrie. Le président a qualifié de scandaleuses et révoltantes les critiques visant directement l’ambassadeure des Etats-Unis à l’ONU, Susan Rice, à cause de ses déclarations suite à l’attaque contre le « consulat » americain à Benghazi, en Libye. « Si les sénateurs McCain et Graham veulent s’en prendre à quelqu’un, qu’ils s’en prennent à moi, » a déclaré un Barack Obama en colère.
John McCain et Lindsey Graham ont promis de tout faire pour bloquer la nomination éventuelle de Mme Rice au Département d’Etat où Hillary Clinton a annoncé son intention de démissionner.