L’insécurité persiste à Bangui, la capitale centrafricaine. Une vingtaine de personnes sont mortes ce week-end, lors d’affrontements entre civils et membres de la Séléka. Le calme n’est toujours pas revenu, affirmait cet après-midi, Me Mathias Mourouba de l’Observatoire des droits de l’Homme de RCA.
« Même au centre-ville, on n’est pas totalement en sécurité. Il n’y a aucune force de l’ordre qui circule », a-t-il expliqué, ce qui, a-t-il dit, « pose des problèmes de sécurité des personnes et des biens. » Selon Me Mourouba, « tout le monde vit dans la psychose. »
« Le soulèvement de la population, ce n’est pas seulement à Bangui ; même à l’intérieur du pays, les populations sont levés pour dire : non, nous ne voulons pas de cet acharnement contre les populations civiles », rapporte le militant centrafricain des droits de l’Homme.
« Il faudrait qu’on puisse arrêter seulement et il faudrait que la communauté internationale nous aide à arrêter ça », a souligné Me Mourouba.
« Même au centre-ville, on n’est pas totalement en sécurité. Il n’y a aucune force de l’ordre qui circule », a-t-il expliqué, ce qui, a-t-il dit, « pose des problèmes de sécurité des personnes et des biens. » Selon Me Mourouba, « tout le monde vit dans la psychose. »
« Le soulèvement de la population, ce n’est pas seulement à Bangui ; même à l’intérieur du pays, les populations sont levés pour dire : non, nous ne voulons pas de cet acharnement contre les populations civiles », rapporte le militant centrafricain des droits de l’Homme.
« Il faudrait qu’on puisse arrêter seulement et il faudrait que la communauté internationale nous aide à arrêter ça », a souligné Me Mourouba.