Alors que la Centrafrique attend l’adoption d’un projet de résolution à l’Onu, qui permettrait de soutenir la force africaine chargée de rétablir l’ordre sur le territoire, un groupe de Centrafricains lance un ultimatum de 72 heures au président de transition Michel Djotodia, qui a renversé François Bozizé le 24 mars dernier.
L’ex président de l’ANECA, l’Association Nationale des Etudiants de Centrafrique, Fleuri Pabandji, coordonnateur et Porte-parole de l’Union des Centrafricains pour la Restauration de la Démocratie, plus communément appelé mouvement «anti-balaka», dit que des milliers de jeunes répartis sur tout le territoire et comprenant des éléments des ex-FACA, les Forces Armées Centrafricaines, s’apprêtent à lancer ce qu’il appelle des «opérations de police», pour éradiquer les ex-Séléka.
L’ex président de l’ANECA, l’Association Nationale des Etudiants de Centrafrique, Fleuri Pabandji, coordonnateur et Porte-parole de l’Union des Centrafricains pour la Restauration de la Démocratie, plus communément appelé mouvement «anti-balaka», dit que des milliers de jeunes répartis sur tout le territoire et comprenant des éléments des ex-FACA, les Forces Armées Centrafricaines, s’apprêtent à lancer ce qu’il appelle des «opérations de police», pour éradiquer les ex-Séléka.