Dans un premier temps, un groupe de quelques 1000 Tchadiens doivent retourner dans leur pays d’origine bord de convois routiers.
Le groupe, bloqué à Garoua Boulai, dans l’est du Cameroun, sans abri ni aide suffisante pendant près de trois mois, fait partie d’un total de 7000 Tchadiens et autres migrants qui ont fui la Centrafrique et qui sont actuellement au Cameroun.
Les convois de Garoua Boulai vers Moundou dans le sud du Tchad, doivent se poursuivre pendant plusieurs semaines.
Au Tchad, l’OIM a enregistré plus de 82 000 rapatriés tchadiens, ressortissants centrafricains et de diverses nationalités africaines.
Certains Tchadiens ont pu arriver à leur destination finale au Tchad, mais plus de 56 000 vivent encore dans des sites de transit dans le sud du pays et à N'Djamena.
Les besoins sont énormes souligne l’OIM, qui précise n’avoir reçu que 350 000 dollars sur les 19 Millions requis pour les opérations de rapatriement.
«Ils leur manque de tout (…) C’est vraiment un peu la solidarité africaine pour le moment, mais ça ne peut pas s’étendre à tout le monde », a dit à la Voix de l’Amérique Roger Charles Evina, chef de la mission de l’OIM au Cameroun.
Le groupe, bloqué à Garoua Boulai, dans l’est du Cameroun, sans abri ni aide suffisante pendant près de trois mois, fait partie d’un total de 7000 Tchadiens et autres migrants qui ont fui la Centrafrique et qui sont actuellement au Cameroun.
Les convois de Garoua Boulai vers Moundou dans le sud du Tchad, doivent se poursuivre pendant plusieurs semaines.
Au Tchad, l’OIM a enregistré plus de 82 000 rapatriés tchadiens, ressortissants centrafricains et de diverses nationalités africaines.
Certains Tchadiens ont pu arriver à leur destination finale au Tchad, mais plus de 56 000 vivent encore dans des sites de transit dans le sud du pays et à N'Djamena.
Les besoins sont énormes souligne l’OIM, qui précise n’avoir reçu que 350 000 dollars sur les 19 Millions requis pour les opérations de rapatriement.
«Ils leur manque de tout (…) C’est vraiment un peu la solidarité africaine pour le moment, mais ça ne peut pas s’étendre à tout le monde », a dit à la Voix de l’Amérique Roger Charles Evina, chef de la mission de l’OIM au Cameroun.