Mardi, le porte-parole de la 8ème région militaire des FARDC, le colonel Olivier Hamuli, a dit que des renforts étaient en route. Mercredi après-midi, il n’était pas possible de le joindre pour connaitre la situation sur le terrain.
Selon Kinshasa, le M23 aurait subi de lourdes pertes. Après les premiers combats lundi derniers, le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, avait communiqué un bilan de 120 rebelles et 10 soldats tués.
Quand aux dirigeants politiques du M23, ils sont toujours à Kampala, dans l’espoir de voir revenir Kinshasa à la table des négociations. « Le M23 va y rester le temps nécessaire pour vraiment se rendre compte que c’est définitif et que Kinshasa ne reviendra plus, alors on va rentrer », a dit le chef de la délégation des rebelles, René Abandi, joint dans la capitale ougandaise.
D’autre part, plus au nord de la province congolaise du Nord-Kivu, au moins cinq localités ont été attaquées par les rebelles islamistes de l'ADF-Nalu en moins de deux semaines. Ces violences armées ont jeté sur les routes de l’exile plus de 60.000 personnes, qui se sont réfugiées en Ouganda, a indiqué la Croix-Rouge.
Selon Kinshasa, le M23 aurait subi de lourdes pertes. Après les premiers combats lundi derniers, le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, avait communiqué un bilan de 120 rebelles et 10 soldats tués.
Quand aux dirigeants politiques du M23, ils sont toujours à Kampala, dans l’espoir de voir revenir Kinshasa à la table des négociations. « Le M23 va y rester le temps nécessaire pour vraiment se rendre compte que c’est définitif et que Kinshasa ne reviendra plus, alors on va rentrer », a dit le chef de la délégation des rebelles, René Abandi, joint dans la capitale ougandaise.
D’autre part, plus au nord de la province congolaise du Nord-Kivu, au moins cinq localités ont été attaquées par les rebelles islamistes de l'ADF-Nalu en moins de deux semaines. Ces violences armées ont jeté sur les routes de l’exile plus de 60.000 personnes, qui se sont réfugiées en Ouganda, a indiqué la Croix-Rouge.